238 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES
l’écrire ainsi
ii’às’ “ N i ii’às’ /cos, * g
—––cos. Bd(~cos.e)==—––d––~),
cos. p r v r/ 2 cos. g v r J
d’où il nous sera facile de conclure que la composante de cette action suivant la tangente à l’élément d.j’, est égale à i’ d s’ d Cèo 31
2 D
et que la composante normale au même élément, l’est à • v i “ à Vcos.a fi
—n’dftang.pd^-E),
expression qui peut se mettre sous la forme
1 "j fj /"sin. Bcos. A dp"]
—ïi d/ d(– -) ̃ ̃•
2 L V r J r]
Ces valeurs des deux composantes se trouvent à la page 33 1 de mon Recueil d’Observations électro-dynamiques, publié en 1822.
Appliquons la dernière au cas de deux courants rectilignes parallèles, situés à une distance a l’un de l’autre.
On a alors
a
sin.£
et la composante normale devient
1 rd(sin.2 pcos. p) (~~ sin. p> d ffj
2 t a a
Soit M’ (fig. 21) un point quelconque du courant qui parcourt la droite Lt L2 et g’, p" les angles L’ M’ L2, L" M’ L2 formés avec