Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/493

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

EXECTRO-DÏNAMIQUES. 3oS IIIJ 1 ~l w w 1823. 3p

coordonnées de leurs milieux o o’ et r la droite do’ qui les joint, laquelle doit être considérée, Comme une fonction des deux variables indépendantes s et s’ qui représentent les arcs des deux courbes comptes à partir de deux points fixes pris sur elles. L’action mutuelle des deux éléments ds, ds’, est, comme nous l’avons vu plus haut, une force dirigée suivant la droite r, et ayant pour valeur

° -ii’dsd.s’rk `d.Cr k ~s d r

—d-d. ñ~»’<bdj’i~) as’ As)

On peut l’écrire plus simplement de cette manièreñ -itVd’jr’dr), " W

en distinguant par les caractéristiques d et d’ les différentielles relatives à la variation des seules coordonnées x, y, z de l’élément d, ?, de celles qu’on obtient en faisant varier seu^ lement les coordonnées oc’, f, z’ de l’élément d y ; distinction dont nous nous servirons toutes les fois que nous aurons à considérer des différentielles prises les unes d’une de ces deux manières, et les autres de l’autre.

Cette force étant attractive, il faut pour avoir celle de ses composantes qui est parallèle à l’axe des, x., en multiplier

la valeur par ^=^- ou par ^=^suivant qu’on la considère comme agissait sur l’élément —dtf’ ou sur l’élément dedans ce dernier cas, la composante est donc égale à aa’rk-I (x- ~~)d’ (r~`dr~.

On peut mettre cette expression sous une autre forme en faisant usage de la valeur qu’on obtient ^pour « dv, u et