faire. dans la série des opérations chimiques nécessaires pour séparer les éléments du minéral.
2o Le cas d’une analyse isolée où les éléments, plus ou moins nombreux se trouvent en proportions qui se rapprochent seulement des proportions définies, de manière à ce qu’il y a toujours quelques substances surabondantes, et qu’il faut admettre des mélanges sur la nature desquels on na aucune notion.
3o Le cas.d’une analyse compliquée accompagnée de renseignements sur la nature des mélanges possibles, et qui peut être partagée immédiatement en, deux portions dans chacune desquelles les éléments se trouvent en proportions définies.
4o Le cas où l’analyse totale, ou l’une des parties dans lesquelles elle peut se diviser, doit renfermer, d’après les renseignements sur les matières associées, des composés de même base ou de bases isomorphes, d’ordres différents.
C’est ce dernier cas surtout qui nécessite de nouveaux moyens de calcul ; il exige toujours la solution de quelques équations.à 1 plusieurs inconnues, et présente toutes les circonstances qu’on, connaît généralement dans ces sortes, de problèmes.
5o Enfin, le cas d’une analyse accompagnée de renseignements sur la nature des corps associés, mais où, quelques-uns des éléments du corps qui peut être mélangé ne sont pas en quantité définie, n’ont offert que des traces de leur présence, ou même ont été tout-à-fait négligés. La discussion ne peut se faire alors que par. tâtonnement, par un calcul de fausse position.
Dans tous ces cas, on peut employer généralement deux
