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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 8.djvu/744

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Verge en fer.

Les différences entre le calcul et l’expérience sont, comme on voit, assez petites pour qu’on puisse les attribuer sans crainte aux erreurs inévitables des observations, et particulièrement à celles qui ont pu être commises sur l’évaluation du rayon

§ V.
Équations de l’équilibre et du mouvement d’une membrane élastique.

(51) Nous supposerons cette membrane assez mince pour qu’elle soit parfaitement flexible, qu’elle n’ait par elle-même aucune tendance à prendre une forme ou une autre, et qu’elle ne devienne élastique que par l’effet des tensions qu’on lui fait éprouver. Nous traiterons son épaisseur comme infiniment petite ; et conséquemment nous regarderons les forces etc., du no 7, comme constantes en chaque point dans toute l’étendue de cette épaisseur normale à la membrane. Enfin dans toute l’étendue de la membrane, excepté son contour que l’on considérera en particulier, je supposerai nulles les forces que comprennent les équations (4) du no 10.

La surface que la membrane formera pour obéir aux autres