sitives ; divisons cette courbe en un très-grand nombre de parties, dont chacune renferme cependant un nombre très-considérable de molécules ; on pourra représenter par la grandeur d’une partie quelconque, étant celle de la partie correspondante sur la circonférence concentrique dont le rayon est l’unité ; et le nombre de molécules contenues dans sera le rapport Si donc on multiple par ce nombre, les quantités comprises sous les signes on pourra ensuite faire croître l’angle par des différences égales à depuis jusqu’à On aura alors
et les formules précédentes deviendront
Ainsi, les forces qui étaient primitivement exprimées par des sommes quadruples, le sont maintenant par des sommes simples. Celles-ci sont relatives à la variable dont la différence est la quantité d’une grandeur insensible, mais déterminée. Elles s’étendront depuis jusqu’à