Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 9.djvu/530

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

et si l’on fait les limites (g) seront

Elles répondront aux naissances masculines en France pendant une année ; et leur probabilité donnée par la formule (a), sera la même que ou à peu près la certitude. Les limites correspondantes des naissances féminines auront pour expression :

et celles qui en résultent pour le rapport des naissances annuelles des deux sexes, seront

c’est-à-dire, et Celles-ci comprennent, en effet, les valeurs de ce rapport qui ont eu lieu pendant les dix années que nous considérons et qui sont citées au commencement de ce Mémoire ; mais cela n’empêche pas, comme on le verra plus loin, qu’il ne soit très-probable que dans cet intervalle de temps, la chance d’une naissance masculine a un peu varié d’une année à l’autre.

(19) D’après l’équation (c) et les valeurs précédentes de et de on aura

et les limites de la variable étant l’équation (e) deviendra en même temps