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Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/138

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LA LGElqDE DE $,INT HILARIO’ -- Tu es bien prompte au pardon, jeune fille, dit Hadon d’e vois so,de. Qd e fe s’est omp si stement, eHe’devrait au mos s’es- iuyer le c.

’le rpondit:  l’aimais. 

Alors il i eut serpent qi s’lana sur Hilarion et lui dc la poitrine. I1 fit le sie de la Cis; et ut &sparut; ms la mors du ent H la sent toujou. H dtt se.dans la nt, pros de la soe, et la vois plaintive de l’eau it comg le cri d’une me dche. I1 retoa an pas vers son er- e. Qand il passer pros du rsseau, oh se miraient ]cs Wiles, il croyt vo un de ces reg lui avent b le c. I1 compt q’il i avt ent la soce et la jee fiHe une relacion mistdrieuse. Sans dou c’t une Naade. Mais pouoi l’avait- le apeld de ce nom d’s, q’il ne poait djl plus qand hie dt ne ? Ce nom, sie le ddsir, l’avait en nonant au monde; coment aurai le pu l’apnd, si tout cela n’ttait pas un pige de l’Enemi ? Ah [ cature fes, hie po la perdi- cion des sn, qe me ve-? II essayt de prier et ne le pourair p. I1 ne sent ds son Ime q’e violen col, con le, n lui-mbme, et surut contre l’autre, q’ at vou byer. I1 vit bien q’il t puni pour son orgue: Je me croyais bien fort, l’ab des mpbtes. Av qle iti ddaieuse je rardais du ve ce qi sont encore haloes p le riot oublt de la vie [Et maCtenet -- Ehbien, qoi ? C’est fini, maintenet; le mauves ve est tvanoui; me voici rcntr ds le cme et la pais. le m’a je ce nora d’ros, qi n’cst plus le mien, come si le youlair rmer une