Page:Ménard - Rêveries d’un païen mystique, 1911.djvu/184

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— Eh bien, en attendant que vous ayez réussi à réconcilier l’Église et la République, convenez que celui qui, de votre aveu a enseigné la vraie formule de la prière, méritait bien le culte que lui rend l’humanité depuis dix-huit cents ans.

— Il faut que vous conveniez d’abord que ceux qui suivent aujourd’hui la voie qu’il a tracée, non pas en lui disant : Seigneur, Seigneur, et en répétant ses paroles, mais en donnant leur sang pour le salut du monde, ont leur place marquée à sa droite dans la Communion des saints.