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Page:Mérat - L’Adieu, 1873.djvu/17

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L’ADIEU.

III

Ne leur en veuillons pas :
Nos pauvres amoureuses
Suivent à petits pas
Des routes plus heureuses.

Paris ne leur vaut rien :
On y fait des folies.
Elles nous aiment bien
Tant qu’elles sont jolies.

Que faire ? Les laisser
S’enfuir à tire-d’ailes,
Et puis ne pas cesser
De nous souvenir d’elles.