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Page:Mérat - L’Adieu, 1873.djvu/32

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L’ADIEU.




XVIII



Oh ! les mauvais dîners charmants
Couvrant un seul bout de la table,
Les faciles raffinements,
Et le bonheur inévitable !

C’était trop chaud, citait trop froid,
Selon le hasard ou ta guise ;
Ton sourire m’ôtait le droit
De nier cette chère exquise.

Nous ferons des repas meilleurs
Certainement un jour ou l’autre,
Mais toi, tu les feras ailleurs,
Et ma table n’est plus la nôtre.