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L’ADIEU.
XXVI
Non, je ne te réclame rien ;
Conserve de l’heure passée
Tout ce que tu pris de mon bien :
Mon cœur, hélas ! et ma pensée.
Tu pourras en avoir besoin
En ces tristes nuits sans délire
Où l’on pleurerait dans un coin,
Si l’on pouvait, au lieu de rire.
Dans ton cœur à peine fermé
Souffre que le regret s’attarde.
— Le souvenir d’avoir aimé
Te suive longtemps, et te garde !