Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/303

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— Certainement, dis-je ; mais demain ou après-demain, c’est vous qui viendrez partager mon repas.

— Je ne sais pas trop, objecta Sabine ; une maison de garçon… Tu devrais te marier, frérot. Je veux aussi avoir une nièce, sais-tu !

Cotrim réprima un mouvement involontaire que je ne compris pas. Peu importe, la réconciliation d’une famille vaut bien un geste énigmatique.