Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/134

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Lorsque tes doigts nerveux frissonnent, sympathiques,
Au toucher onduleux de leurs corps élastiques,
Ils se pâment sous ta caresse. Cherchent-ils
 
Aussi dans tes grands yeux ton âme délicate,
Sentant bien que tu n’es, sous ces dehors subtils.
Qu’une voluptueuse et dangereuse chatte ?