géantes à peine livrent un passage étroit vers les salles désertes et la porte au large béante : nouvelles leçons au sein qui pense, que vaines sont les jouissances sur terre offertes ; et mêlées au naufrage par l’inclémente marée du Temps.[1] Si fort dure l’étonnement causé par le prosateur au poëte, que voyageur l’un revoit l’ombre de l’autre ; dans des lieux mêmes où rien comme un palais légendaire bâti au cours d’une promenade de quelques mois en Portugal n’a pu s’élever. Cela suffit : je ne sais maintenant bibliothèque qui, dans un appareil de luxe et familier aussi,
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There thou too, Vathek, England’s wealthiest son,
Once form’d thy paradise. . . . . . . . . . . . .
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Here didst thou dwell, here schemes of pleasure plan,
Beneath yon mountain’s ever-beauteous brow :
But now, as if a thing unblest by man,
Thy fairy dwelling is as lone as thou !
Here giant weeds a passage scarce allow
To halls deserted, portals gaping wide :
Fresh lessons to the thinking bosom : how
Vain are the pleasaunces on earth supplied ;
Swept into wrecks anon by time’s ungentle tide !Canto I (XXII et XXIII)