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C’étaient des petites chambres à lucarne dans lesquelles entraient le soleil, les odeurs champêtres, les mouches bourdonnantes. Je me rappellerai toujours ce décor pittoresque où s’agitaient mes émotions : les murs peints au lait de chaux ; les carreaux rouges du plancher ; une table en bois blanc sur laquelle traînait un fer à repasser ; et, tombant d’une tabatière, un grand rai de lumière dans quoi dansaient des poussières blondes.
Tous ces détails me sont restés au fond des yeux ; car, tremblant et embarrassé, je n’osais regarder Geneviève Renaud et j’attachais mon attention aux objets indifférents afin d’avoir une contenance.
Mon malaise devint tel à me sentir