et jeune… Moi, je raffole des blondes ; naturellement, ma maîtresse est brune.
— Ah !… Je n’ai jamais vu Francine Clarel.
— C’est une sauvage sédentaire, elle se montre à peine… Tu la rencontreras peut-être ici, un jour ou l’autre. Peste ! mon cher Maxime, je te trouve difficile : Annie est une amie enviable.
— Certes, elle est jolie fille, concéda Fargeau ; mais si bête !
— Sapristi ! Elle me conviendrait mieux que Francine, soupira Jacques. Elle a beaucoup moins d’esprit et un peu plus d’appas… Entre une maigre spirituelle ou une niaise grassouillette, qui commettrait l’aberration de choisir la première ?
— Moi ! plaisanta Fargeau. Je ne te comprends pas de préférer la plus banale cabotine à mademoiselle Francine Clarel… Décidément, aux yeux du coq, la perle ne vaudra jamais le grain de mil…
Jacques lui coupa la parole :
— Le coup de foudre à distance… Pan ! Ô mystères de l’électricité ! Voilà un homme qui