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Page:Marguerite de France - Memoires et Lettres.djvu/226

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pour les mesmes raisons que j’ay cy-devant dictes. Voilà, madame, tout ce que je sçay ; et vous supplie tres-humblement de considerer si je n’avois pas juste et apparente occasion de m’absenter ; et qu’il plaise au Roy et à vous me vouloir doresnavant faire tant de bien et honneur que de me traiter comme estant ce que je vous suis, et qui n’a aultre volonté que vous estre à tous deux tres-humble, tres-fidelle et tres-obeissant serviteur[1]. Signé Henri.

  1. Publié par Le Laboureur, dans les additions aux Mémoires de Castelnau, t. II, p. 390, où il faut lire l’histoire de la conjuration de La Molle et de Coconnas.