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DU TOME TROISIÈME

XLIV. — Bonne aubaine que vaut à un Cordelier sa sincérité.

À Sedan. Nulle indication de date. Historique. — L.

Page 41, ligne 1. — Cette Nouvelle, qui se trouve dans tous les manusc., manque dans l’éd. de 1558. Claude Gruget, dans l’édition de 1559, y a substitué une autre Nouvelle que nous donnons à la fin du volume. — L. — Nous l’avons donnée dans le texte à la suite de celle-ci. — M.

Page 41, ligne 9. — « Le Seigneur de Sedan ». Ce doit être Robert de la Marck, IIe du nom, Duc de Bouillon, Seigneur de Sedan, Floranges, &c. Il avait épousé en 1491 Catherine de Croye, fille de Philippe VI de Croye, Comte de Chimay. Il eut pour fils le Maréchal de Fleuranges, auteur des Mémoires qui portent son nom. On trouve, t. VII, p. 167, de l’Histoire généalogique de la Maison de France du P.  Anselme, une notice détaillée sur le Seigneur de Sedan. — L.

Page 44, ligne 4. — « Et au fruict congnoist on le bon arbre », Unaquæque enim arbor de fructu suo cognoscitur. Lucæ VI, 44. — M.

Page 44, lignes 13-5. — Ms. 75762 : « car je sçay bien qu’un d’entre eus, Docteur en Théologie, nommé Colimant, grand Prescheur & Provincial de leur Ordre, voulut persuader, &c. ». — L.

XLIVbis.Comment un jeune Parisien arrive à épouser la fille d’un Marchand de soie.

Page 48, ligne 1. — « Contre la descente de Charles d’Autriche ». C’est dans l’été de 1536 que Charles-Quint entra par le Piémont en Provence pour faire le siège de Marseille qu’il fut obligé de lever. — M.

Page 49, ligne 1. — « Ce qui ne faisoit bien à l’honneur de la fille ». Correction ; le ms. donne rien, qui contredit la suite du sens. — M.

Page 54, lignes 6-7.— On remarquera dans la maison d’un marchand de Paris la grandeur du jardin avec ses haies de rosiers & de groseilliers. Il y avait, dans le cœur même de la ville & à l’état simplement bourgeois, bien plus d’espace & de jardins qu’on ne penserait. On l’a bien vu quand on a ouvert le boulevard Sébastopol. Les maisons des rues Saint-Martin & Saint-Denis, serrées & hautes sur la rue, semblaient n’avoir ni air ni lumière ; la