La Dame du sang royal dont Marguerite parle avec tant d’éloges peut bien être Louise de Savoye, qui aimait beaucoup entendre raconter des aventures de toutes sortes. L. — On peut voir dans l’Introduction de M. Le Roux de Lincy, I, 185, ce qu’il a dit au sujet de l’affection de Marguerite pour sa mère. — M.
De 1515 à 1520. À Paris. Historique. — L.
— Cette Nouvelle manque dans l’édition de 1558, donnée par Boaistuau ; elle a été publiée pour la première fois par Gruget en 1559. — L.
Page 225, ligne 6. — En la ville de Paris se trouvoient quatre filles, &c. Cette Nouvelle est, sans aucun doute, le récit d’une aventure, ou mieux d’un projet d’aventure, qui se rapporte à la jeunesse de François Ier. Le Gentilhomme, que son maistre avoit fait Prévôt de Paris, est Jean de La Barre, dont nous avons eu déjà l’occasion de parler. — L. — Voy. t. Ier, p. 262, t. III, p. 225, & t. IV, p. 220-1.
À Valence, en Espagne. Nulle indication de date. — L.
Vers 1525. À Lyon. Historique. — L.
Page 241, lignes 4-5. — « En l’église Sainct-Jehan de Lyon y a une chapelle fort obscure, &c. »
Nous citerons ici quelques extraits d’une lettre que nous a écrite M. Péricaud, auteur de plusieurs ouvrages remarquables sur la ville de Lyon :
« Marguerite vint à Lyon pour la première fois en 1525 ; elle avait alors trente-cinq ans. Le 11 avril de cette année elle perdit son premier mari, Charles d’Alençon ; les augustes époux avaient pris leur logement dans la maison de l’Obédiencier de Saint-Just.