Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 6.djvu/437

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n’avez qu’à voir dès à présent ce que vous voulez faire de moi ; il serait inutile de me faire revenir.

À peine achevais-je ces mots qu’on annonça Valville et sa mère, qui parurent sur-le-champ.

Jugez de leur surprise et de la mienne. Ils avaient découvert que le ministre avait part à mon enlèvement, et ils venaient me redemander.

Quoi ! ma fille, tu es ici ? s’écria Mme de Miran. Ah ! ma mère, c’est elle-même ! s’écria de son côté Valville.

Je vous dirai, le reste dans la septième partie, qui, à deux pages près, débutera, je le promets, par l’histoire de la religieuse, que je ne croyais pas encore si loin quand j’ai commencé cette sixième partie-ci.

Septième partie

Souvenez-vous-en,