Page:Martineau - Dupleix et l’Inde française, tome 4.djvu/423

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avec Godeheu, n’indiquait pas que la Compagnie de France ou le ministre fussent décidés à faire trop de concessions à l’Angleterre : c’était, à tout prendre, le succès de sa politique qui lui paraissait assuré. Loin de lui donner de l’inquiétude, le choix de Godeheu, qu’il se plaisait à représenter comme un homme de bon sens, lui était une garantie presque certaine que toutes les affaires se régleraient à sa convenance, sous la double sauvegarde de leur vieille amitié et de leur commun amour de la patrie et de sa grandeur.