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Anirouddha, cousin et disciple du Bouddha, 115, 150, 172.

Anoupya, ville, 115.

Apsaras, nymphes du ciel d’Indra, nées de l’Océan, et femmes des Gandharbas, musiciens du paradis. On les trouve déjà dans le Vêda où elles n’ont pas encore le caractère léger que leur attribue la poésie épique, où on les voit employées à ébranler la vertu des sages, pour les faire déchoir et les priver du pouvoir surnaturel acquis par leurs austérités, 21.

Arâta Kalama, philosophe que Sâkya-Mouni alla visiter, 57, 83.

Arati, fille du démon Mâra, 79.

Ardjouna, l’arithméticien, 37.

Asita, c’est-à-dire « le noir, » ermite qui, à l’aide du pouvoir surnaturel qu’ont les saints, vient, à travers les airs, voir Sâkya enfant, 23.

Asitaki, la plante, l’indigo, 62.

Asôka (Jonesia asoka). L’un des plus beaux arbres de l’Inde, suivant W. Jones : « Le monde végétal offre peu d’arbres d’un aspect aussi riche que l’Asôka en pleine fleur. Il est, à peu près, de la hauteur d’un cerisier ordinaire. Ses fleurs sont grandes, et présentent les plus belles teintes rouges, orangées ou d’un jaune pâle, suivant l’âge de la fleur, » 6, 17.

Astre qui préside à la naissance de Sâkya. Il s’appelle en sanskrit : Pouchya nakchatra. C’est le huitième astérisme lunaire (décembre-janvier), 51.

Asvadjit, l’un des cinq premiers disciples du Bouddha, 97, 107.

Aumi, petite rivière à l’est de Kapilavastou, appelée aussi Anoma. C’est sur ses bords que Sâkya prit les habits d’un ascète, coupa ses cheveux, et renvoya son écuyer et son cheval, 53.