Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/132

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Aldobrand.

A Dieu ne plaise que je contrarie tes religieuses pensées ! mais dans l’exercice douloureux de la pénitence, pense à ton ami, et ménage ton foible corps.

Imogène.

Et me laisses-tu avec cette tendresse qui me tue ?

Aldobrand, à Clotilde qui sort.

Appelez mon page, pour qu’il apporte un flambeau et me conduise à mon appartement.

Imogène, tombant à genoux par une impulsion subite.

Mais avant de partir, cher époux, pardonne-moi.

Aldobrand.

Te pardonner ?…et quoi ?