Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/38

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Hugo.

On le dit. Mais, dans ma jeunesse,les orages se passoient comme des révolutions utiles et nécessaires, donnant à toute la nature de la santé et de la vigueur ; maintenant leur fureur impitoyable annonce la colère du Ciel.

Thérèse.

Plût à Dieu que sa colère ne visitât pas ma belle et généreuse maîtresse !

Hugo.

Puisse-t-elle être aussi heureuse que lorsqu’elle possédoit son père ; alors sa maison florissoit. Je la voyois libre de soins et d’amour, chanter et courir sur l’herbe fleurie de nos prés.

Pietro.

Voyez si la dame Clotilde est éveillée.

Thérèse.

Je voudrois qu’elle fût près d’elle, parce