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plement le bourgeois gentilhomme ; c’est de la prose, cela ; mais
Je t’aimerai tant que la fleur bénie |
m’aurait enlevé, je l’avoue, toute velléité de faiblesse pour un amoureux aussi privé de qualités poétiques.
Oui, cette absence de littérature m’aurait gâté les sentiments les plus exaltés ; l’envoi de ce morceau rappelle trop vivement les déclarations de pompier à cuisinière : « Ma bele pouxpoule, je taicri pourre te dir que je viendré mangé un boutlion de mains çoir… »