Page:Maupassant - George Sand d’après ses lettres, paru dans Le Gaulois, 13 mai 1882.djvu/7

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» Mon Dieu ! quelle rage avons-nous donc ici-bas de nous tourmenter mutuellement, de nous reprocher aigrement nos défauts, de condamner sans pitié tout qui n’est pas taillé sur notre patron ?… »

Et toujours reparaît son invincible besoin d’indépendance. « Être toute seule dans la rue et me dire à moi-même : Je dînerai à quatre heures ou à sept heures, suivant mon bon plaisir. Je passerai par le Luxembourg pour aller aux Tuileries, au lieu de passer par les Champs-Élysées, si tel est mon caprice… »