Page:Maupassant - Sur l'eau, 1888.djvu/23

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depuis des mois, depuis des années les gens qui parlent et qui s’agitent ; je sens entrer en moi



l’ivresse d’être seul, l’ivresse douce du repos que rien ne troublera, ni la lettre blanche, ni la dépêche bleue, ni le timbre de ma porte, ni l’aboiement de mon chien. On ne peut m’appeler,