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ne connaissent que l’amour pour
le sultan, et la plus vive jalousie
pour leurs rivales. Ce mot d’amour
révoltera peut-être ; mais si le lecteur
veut y réflechir, il trouvera que
le sentiment qu’elles éprouvent est
celui de l’amour le plus violent et
le plus emporté.
Il arrive quelquefois que ces malheureuses esclaves vivant dans une retraite aussi austère, ressentent quelques desirs les unes pour les autres ; mais cette foible dissipation ne change rien à ce que j’ai avancé.
Je m’estimerais heureux si l’histoire de Zeni ne méritait point d’autre critique que celle à laquelle