Page:Meiss - Considérations sur le Judaïsme, 1908.djvu/20

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contraire, il est plein de bonté et rip, tant aux enfants le mérite des ancêtiis Tsquî lT°T lième e’énératinn[1] m o— jusqu’a la mill’étenfeHe Ve’tU de « Dères » r-w’sont punis pour la faute des ont persisté dans le mal °en ÏXnZ i, S avaient sous les veux et

généralement les ouvriers de notre cLtin’e cnt au frontispice de notre Code im mortet’r’blime de n, l’tcl le met sume ae H’ « Que la Lumière soit » etcteste de toute son énergie contre les doV autre confession nous montrant après elle le boulet du soi-disant « l’gique avec elle-même, elle ne craint prs cÏÏ « le châtiment de Dieu, devient, suivant tances, un objet de bénédiction, et elle anX ment son dire sur Pliistoire d’Adam cha dis et condamné au Tra vail.[2]

Déjà aux premiers jours de l’Histoire et le avant la législation sinaïque, DieuX, — lois qui sont la base et la stmvegrrdo civilisée[3]. Citons seulement celle qn smat > et > indirectement, la guerre an considéréear le Judaïsme comme

  1. Exode, XX, 6.
  2. Voir
  3. Avant la législation dite ntiaé —i » l’iCn À a C’K, : : ne ments vers un idéal, source de v. Ic f : i ! t Ls U… i-sdes de l’avenir. Ce sont les 7 lT-t/ics Tt et i ;.. n j —J3 niso’t ut M xa :