rite personnel, et notre oncle y voit un peu de ces yeux-là… À demain. »
Comme nous n’avons reçu, nous, aucune invitation, nous n’assisterons pas au dîner de madame de Vaubrun. Sautons à pieds joints sur deux mois, et nous trouverons la jolie Francisca devenue madame Dérigny. M. d’Avello quitta sa nièce quelques jours après ses noces et retourna à Barcelonne, allégi d’un grand poids, celui d’une femme sans dot à marier.
Enfin le voilà donc heureux, allez vous dire, ce sentimental Arthur, ce consciencieux amant ! Comme vous êtes prompt dans vos conjectures heureux ! Eh ! bon Dieu non, il ne l’est pas !
Et cependant lorsque Francisca lui avait dit : Athur je vous aime, vous êtes le seul homme qui me sembliez devoir rendre ma vie heureuse ; c’est d’après cette conviction que je m’engage à vous par un acte libre de ma volonté… Quand elle lui avait dit cela,