Page:Mercœur - Œuvres complètes, III, 1843.djvu/246

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

X

LE DÉDIT.

Vous qui, possédant la jeunesse, la beauté, le rang et la fortune, ne vous trouvez cependant en possession que d’une chétive part de bonheur, femmes ! qui, le cœur vide encore d’amour, accusez l’avarice du sort et lui demandez de remplir votre âme, en y plaçant une image chérie… vous qui, oubliant ou méprisant coque vous possédez, soupirez de regret et d’envie ardente,