donnât ce nom, répondit Francisca, c’est le vôtre, et j’ai pensé qu’il porterait bonheur à mon fils.
— Vous allez déjeuner avec nous, dit affectueusement Dérigny un peu revenu de l’émotion qui l’avait troublé à la vue de son oncle.
— J’accepte d’autant plus volontiers, que je m’étais déjà moi-même invité à déjeuner avec vous. — Ainsi, ma chère nièce, je suis votre convive.
— C’est trop aimable à vous, monsieur Rémi, » répondit-elle en se levant pour aller donner des ordres.
En attendant que le déjeuner soit prêt, laissons Arthur se remettre entièrement de son trouble, tandis que le curé continue à jouer avec son petit neveu, et causons à nous deux du changement survenu dans la fortune de Dérigny ; car il est bien clair que ses affaires ne sont plus au même point où nous les avons laissées.
Nous vous avons dit autrefois qu’il avait