Page:Merrill - Les Fastes, 1891.djvu/25

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Ce sont des froissements frêles de falbalas,
Et de légers baisers ravis en le silence,
Et des amusements d’amants si las ! si las !


Puis la fuite d’un rire ! et oh ! l’eau qui s’élance
Des vasques, et les fleurs sous cette écume d’or,
Et les luths, et les voix lentes de somnolence

En le jardin nocturne où la lune s’endort !