Page:Merrill - Les Fastes, 1891.djvu/72

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Mais las ! les torches d’or grésillent aux murailles,
Mille essors de velours palpitent par le noir,
Et les squames crispés craquent sur les rocailles.


Voici l’âcre ténèbre où n’erre nul espoir
Et le mortel remords de faillir à la rune.
— Mais tu trouvas l’issue où bleuissait le soir,

Et tu mourus de rire aux rayons de la Lune !