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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/146

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Craignez-vous que la mort vous guette à votre seuil,
Pour écouter ainsi, dans des poses de deuil,
Battre, tel votre cœur, l’horloge monotone ?

Oh ! non, n’ayez pas peur de l’ombre en la maison,
Ni d’entendre le Temps qui sonne la saison !
C’est l’heure des fruits mûrs aux vergers de l’automne !