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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/150

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UN PEU D’OMBRE

Un peu d’ombre, quelques larmes,
Et le son d’une cloche sur la ville.
Le vent d’automne souffle l’alarme
À nos âmes qui se sentent serviles.

Ah ! cache-toi dans mes bras, ce soir
Où nous avons presque peur de l’amour,
Pour avoir entendu dans le noir
Cette cloche qui sonne la fin d’un jour.