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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/157

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Et sur la colline de fleurs dont les oiseaux sont en fête,
La Ville de marbre que l’aurore dore de ses flammes
Retentira du tonnerre léger de ses trompettes
Pour accueillir, sauvées du passé, nos âmes.

Ô sœur fidèle, perdons la route et la trace des hommes
Qui ne veulent pas sortir du ténébreux vallon
En oubliant le nom de la ville d’où nous sommes
Nous apprendrons celui de la ville où nous allons.