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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/158

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EN UN PAYS

En un pays de calmes fontaines,
À l’heure de la mort du soleil,
Quand je défaillerai de sommeil
Après tant d’aventures vaines,

Je panserai enfin mes blessures
Et je purifierai mon âme,
Ô toi dont l’épée de flamme
M’a montré vers Dieu la route sûre.