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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/179

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DOUTE

Ma Tristesse sanglote derrière les volets clos,
Au coin du feu, sous la lueur solitaire de la lampe,
Cette nuit sans lune où rien ne bouge dans l’enclos,
À moins qu’un vagabond de la ville n’y rampe.

Mais non, je suis bien seul avec mon rêve
Qui chante comme une salamandre parmi les flammes.
Dehors, le vent de tout ce jour a fait trêve
Pour courir sus à la ville où pleurent les femmes.