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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/183

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Je ne sais quelle réponse refusée à ma foi
Et demander, mendiant enfui des villes, à tes forêts
Éternellement remuantes sur les sommets
Ce qu’elles veulent me révéler de leur antique secret. »

Et la Terre, par les voix innombrables de ses arbres,
Comme l’oracle parmi les chênes de Dodone et les marbres,
M’a répondu : « Le secret que te cache le Sort
Est celui de toutes ces feuilles éparses au vent : la Mort ! »