Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/185

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Tu lances l’appel aérien de tes cloches vers Dieu,
Puis tu vomis, courtisane accroupie, ton sang
Dans le fleuve qui, des glaciers verts, roule vers l’Océan bleu.

Tout change en toi comme en un rêve mortel,
Tout, sauf la plainte incessante des innocents
Qui meurent à ta vie sous la flamme de tes autels.