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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/188

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N’es-tu plus, ô pauvre femme, sanglante
Que de la rosée des plaies de Jésus,
Comme ta sœur Madeleine-Marie
Que tu priais, lasse du tumulte de la rue,
Sous les vitraux des élises fleuries ?

Ainsi soit-il, pauvre femme sanglante,
Qu’une sœur, qui sait ta noire histoire, pleure,
Ce soir de brises légères et de fleurs,
Comme si elle voulait par un chaste marché,
Porter à Dieu le poids de tes péchés !