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Page:Merrill - Les Quatre saisons, 1900.djvu/189

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ATTENTE

Si c’est pour me faire croire à la vie
Que tu viens à ce triste séjour,
Prends la clef d’or, et, les marches gravies,
Ouvre la porte aux pas de ton amour.

Si c’est pour me faire croire à la mort,
Prends parmi tes clefs celle de fer,
Et ferme les fenêtres à l’aurore
Dans la chambre pleine des ténèbres d’hier.