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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/28

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Une meute jappait à l’appel des varlets.
Parmi les ifs taillés les paons faisaient la roue.
Tout le soir embaumait comme un cœur qui s’avoue.

Mais tourné tristement vers mon trop beau palais
Où la reine riait toujours avec les pitres,
Je regardais mourir le soleil dans ses vitres.