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Page:Merrill - Une voix dans la foule, 1909.djvu/29

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LE PAON BLANC

À Tristan Klingsor.

Le paon blanc criant dans la nuit bleue
Où la brise éparpille les fleurs
Des cerisiers pâles sur sa queue,

Au fond du parc vaporeux les pleurs
De l’eau qui s’écoule des fontaines
Dans des marbres de maintes couleurs,