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On dirait que par la fenêtre
Le Malheur nous guette, sournois.
Mais l’aube va bientôt paraître,
Et j’ai tes baisers et ta voix.
On dirait que par la fenêtre
Le Malheur nous guette, sournois.
Mais l’aube va bientôt paraître,
Et j’ai tes baisers et ta voix.