· ealier de Paray ; Hmferdam (Pnri•), ’t78 !, indi ; 7° Di•••rl•tîo•· sur l’I ; ihigJuie ea Taurùk les Grec, . Jn Romaine, du Théâtre-Frauçaie et de la edu lgrigne j•uq•’â nan joan, Compiegne, 1787, in-8° ; 8° Ieri¢·lion•, Dùrours, Poilue lyriques et autres piècer adonliiramitee, llemplaie, ’l’·erago», 5587 (Parisf, 17 :47, 2 parties in-8°. Le première partie contient onze petites pièces en un acte et ën vers libres 1 Vlrruptian de l’or¢ian dan : la parlie du lobe appelëe depuis Mediterranée ;’ Gedëon, ou îalmour de lïgalité ; (cs Inquiriludet cl la rliarnm de lürmitii. parodie ; i’.·lmour banni du jardin : de Minerre ; Inauguration du portrait d’un lai raphanlr wrtant cxrrrfre ; Benrersoment du temple de Dayan ; allreue rendue à la lumière, · l’omlm· de Samuel ; Orçate dëlirré de us fureurs ; le Retour de Phaan, · le llfuil d’Adam ; la sixième n reparu avec cette ail dit ion au titre 2 Imprimé ? entr : Esthaol et Saara, nir le tombeau de Éilannë, au profit de huit octogénaires, adoptés par la société patriotique, in-8°*, sans date ; et la onzième, sous son même titre. refusée à l’opéra, a été mise en-m=10«1 ; am— en trois actes. Murseille, 1801, et Paris. 1805, in-li ; 9° le Miroir des éréneiiienta, ou la Belle au.: dm.: riaagea, q Paris, l7l)t). in-8°*, rotnan politique ; 10° Ode à Ia nation, 1792, in-8° ; ll° la Feu- du trarail’, scène lyrique en vers lilires, iliid., an 3 (l’795j ; 12° la Fête cù·fqu¢·, ann¤’1·er.¢aire en mémoire de la Iib«·rn’reronquise, en vers libres, ibid., .an 3 ilîilii, ilt—8° ; lil" Ourrrture de la mmpagne, poème ly rique en’vers libres. propose au compositeur qui le voudra, même de l’|nstitut, Paris, all il SlÈi, ill-8°* ; lv la Terre est un animal, opuscnlc philosophique avec figures, Versailles, an 3 17921, . in-18, rajcuni peu de temps après par ce’nouveau titre : Corirerrations d’une courtisan philosophe, ou la Terre est un animal. À la tin du volume, l’auteur reproche au public de lui avoir souent attribué les compilations de Noutaret. La troisième édition forme le troisième volume de la deuxieme édition du Fond du sai’, Où l’&It1(t.’lI’ & 3jtit|lti au titre : De’rc10ppzmen ; du syslcnic de Platon, suivi de l’Epùre à Buffer : sur les trois règnes, Paris, an. 13, 1805’ ;. in-12 ; 15° l’»lme de- Timoléon, ou principes républicains, philosophiques et moraux, auxquels on a joint quelques motifs de chants analogues aux fêtes nationales et dccatlaires, Paris, an 6 $798, in-8°*: lti° Contra en rers, Paris, an 6 Q1798’, 2 vol. in-t-l" et in-18. tlette édition, fort incorrecte, fut. mise à l’inde.e à Vienne ; tous les contes ne sont cependant pas licencieux, et l’un des meilleurs, le Sabre, fort goûté de Louis XVI. ulouue aux rois une leçon hardie de justice et de générosité. Suivant quelques bibliographes. il en parut une cinquième édition en 1810. IT" L’.·l••lip0¢]¢ Je illarmonlri, ou Xoutellrx frtions, yasrs (Fumeur et rspiêglcries de l’: lriat}nèt¢ /ïançaic, opuscule précédé de la correspondance de l’auteur avec Paray, Pattsnot et autres, O
g · · ·’·: ! aoc’i Q zi Paris, an 8 (1800), 2 vol. in-18 ; 2° édition, —l80i, .2 vol. in-18, et réimprimé comme troi— · sième volume de l’Aristenète franfàisi 1805 et
IBOT ; 18’le Danger des extrêmes, essai eritiètia à l’ordr’e du jour sur quelques écrivains ensemb e, où se croute Histoire du savant astronome chin is l(ia-Tsing Jlamboutzly, et un dialogue familier entre Aristénète et Corebus. Paris, an 8 US00), in-12, avec doux gravures ; 19° Podalire et [Jirplie, ou la Couronne tient à la jarrelièn. mit a l’index de la cour de ’Iennc, Paris, IBQÉ, 2 vol. in-t2, avec deux gravures ; et in- °, papier vélin ; !0° la Gorge de Mirsa, autibre corebo Aristenète, cum notis et commentsriis, Paris, an 9 (1801), in-12 ; 2l° loïuite des Muses et du Mn goût ; peut-an pompier sur leur retour ? essai d’Aristénète sur cette importante question, Paris, 1802, in-8° ; 22° Jerémiade dïdristënêre, sur lat mort prémattsree d’un poëme de sa façon, intitulé le Réeeil d’/Mam, en vers, Paris, an ·12 l80i}, in-8° ; 13’ Sur les spectacles, an 12 (ISOIÀ}, in-8° ; 2i• Aristenëte au Vauderille, Paris, 1806, in-18 ; 25°·le Livre des destins, comédie lyrique en un acte et en prose, ibid., 1806, in-8° ; 26° Épître au auteurs du taudeeille intitulé le Rire, ov la Colonne de ltosbacb, lbid., 1807, in-12 ; 27° l’Enfant posthume, contenant les Compères et les Bamlrint, lubie "d’/Iristenëte, 1807, · in-12 ; 28’le Retour à la ; agesre, ’ou la Rentrée des hommes dans le temple, et des femmes dans le jardin, · Paris, 1807, in-18, ouvrage maçonnique ; 29°* Epine à la lumière, considérée comme corps, 1808, in·,12, agréée p ar Lacépède ; 30° l’Oracic de Delphes, pièce de vers pour la naissance du roi de Rome (dans les Hommages portiques d’Eckard et Lurçt), l8ll ; 3l° Origine du fraisier sans couleurs, fiction en forme d’apo10gue, dédié à madame Palissot, Paris, 1812, in-8° dé 8 pages ; 32f Apologues et noureaua : contes en vers, orld-ans, 181L. in-18. Nogaret avait donné un essai de ses apologues à la suite de la première édition de ses contes : son esprit malin n’avait pas la naïveté d’un fabuliste. Les nou- · seaux Contes ont été aussi lm rimes à part, ibid., l8l !s, ln-18’ · 33°* Ode sur pinrenclie de l’odion, Paris, 18191 in-8° ; 3t° Bouquet au roi’, ibid., 48%, in-8° de 4 pages ; 35°* Prières du chrétien, paraphrase extra te des œuvres de l’auteur. 1824, in-fol., 2 pages ; 36° Ifcylesions d’un patriarche sur les toitures dites ontnibus, en vers, Paris, 1828, in-8° de 8 pages ; 37° Derniers soupirs d’un rimeur de quatreétrittgtmeuf ans, ou liersiculets de Felix Nogaret, sur la mltapluysito-né’ologoromantirologie, Paris, 1829, ln•8° de 28 pages. 38° la Femme créée aeant fhomtne ; le Diner cle l’ours, et autres passe-temps inédits de l’Aristé· nùefrançait, manuscrits lombdt Je sa porhe, Nu dll I)0||("(I|l-I’·(4·RUIl.l’, et "’0IH.’ ;8 [HIT moi., SUN Gm ; E, son cousin, Corehus, Paris, 1830, ln-8°* de 56 pages ; 39° Etinrrlles d’un feu qui s’e*teint.’l’(Euf frais, OI Erulo galliua puerpera ; petit coute en
