Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/65

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Dans la crypte que t’ombre emplit,
Fait d’une pierre étroite et dure,
H est uncalmelit.
C’est là que s’endorment tes fièvres
Dela vaine chair prompte à s’apaiser.
Et que s’éternise Mmslèvres
L’infini baiser?
ttYLAS
Hriséïs’ Vision dont le soutue m’entoure
Qu’es-tu doue maintenant?
BBMtliS
As-tu peur de me suivre, Mytat. vers la demeure
De l’hymen permanent?
UYLAS
Vers la vie ou la mort. vers la ouif ou l’aurore,
Femme ou fantôme, je te suis!
BMStfS
U te faut devenir d’abord tel que je MM
0 mon llylas, écoute encore.
Te rappelles-tu que tu me jetas,
Une nuit d’été. des roses en tas,
Pour m’avertir &la fenêtre?
Après ton départ je tes ramassai.
Et, de mon souftie caressé.
J’ai vu le cher bouquet renaitre.
Je te donneà mon tour un bouquet, mon amant.
Non pas de )ys, non pas de roses,
Elletire une t.tofrcplied’entrn<esvoile..
Maisde livides nuurs à t arômeendormant
« 
Qui t~resde mon lit sont éctoses.