Page:Milton - Cheadle - Voyage de l’Atlantique au Pacifique.djvu/218

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

218


DII :L_E


OU pII’-de1BU8 ies tIIonCi.to8bés – 1181 881’ Jea &1direI ; lei COIDpagIIIMlI.v&iem peine à le suivre de près ; pourtaat auame -de ces empreilltes, que l’œil moins espérimenté de Che8IJe De pouvait rOOlJl8Bdre f{U’apres 1’8RI8en le p11lB.taen8if, lie lui 6chappait. JJon-&nlememt le chaB8eurat tOtœ de ne pal prire la piste des yeux., ma.il 8DC8re il doit chercher eo_"--leDt

l’animal qu’il poursuit, car il peut le rencOBtrer à chaque instant ; il ne doit non plus ni briser use branche lèche, ni faire. du bruit da.ntl le taillis qll’ü nvene. Parmi les quelqves facultés dont l’Indien Peau-Rouge est doué pour le bien eu pour le mal, on n’a rien exagéré dans ce qu’ou a dit de la puissmœ

de sa roe, ou de la lIIgacité qu’il poHMe pour suivre \me piste et pour interpréter les indices qu’il renocm.tre. It passera p/B’fois des journées entièl"es à pounuivre un élan, et, dansl’hifer, quand le son de la croû’te de neige qui se brise S08.S &eS ptrahirait ses approches, il preBdl’& la peiBe de tailler au cou&eau chacun de 88S pIB. Dans le CasllOBt il s’agit, l’a.. était parti et la chuse avait été aban_OIBIée.

Le sCJir, BOUS nous règalmDes bien avec notre plat.de pcüseDJ, -et nOW ! griODJ éUl 8988Z gais sans la sioiBtire bouderie de Baptifte. La matin6e suivlBte S’8IlBODçait lllÏeu. BaptiBt.e aida volœüers à charger les chevaux, il fut aussi ooIB8IUDicaûf qu’ :à rcmiinaire et etd i’airtout à t’Ilit ceMent. GheaIDe partit en M’MIt, et apllès uue he1ll’e ou ’no de marche il &’arreta pour aUendre le conYOÏ. Qsand _elui-ci aniw., Jap1i8t.e avait œ. para ; ce fut MiltoD.qui, le pl’emier, Idgula SOB ab8eBce. L’A&sinibeine afiil’llll que tout ce 1Iu’ü8V8it àcet.rd, c’est. qtae, Ion du -départ, Baptiste était resté eu EMre S<NII pretexte d’allumer ’De pipe ; il n dO\lt&it point qw.’on ne le rerlt d"D imMnt t l’autre. JeUi continu :6mes de œard1er j_1I’_ Dlim. Alors, COIIUU.8apÜ8te ne reparai8ait pa, nou demeuJotmes tonvaiDcus1J1l’il M’ait réellement tNBerté. Jeus DOIIB _ pev _élibérer la_Bellement sur le pII’li cra’il Y 1Iftit. i