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d’avancer, et., s’Ula poussait devUlt lui,. s’obstinait 11 aller de travers.

liais le 11 juillet fot pire. encore pour nous que ae l’avait ét6 le 10. D’abord nous f\\mes longtemps retenus,. parce qu’au mom.t d. part.ir nous ne trouvions plus BUCéphale. L’Assiniboine finit par le découwir de l’autre côté du Fnser et dut, pour le J’AlDenar,. se délbabiller et tr&.verser 11 la nage les eaux glacées du neuve. Peu après,. nous parUmes et il nous fallut passer à. gué la rirdère de l’man, opâration rendue difficile par la hauteur et la rapidité de :l’eau, qui, dans ses parties profondes, était plua haute que les épaules des chevaux. M. O’B., n’avait plus coD8CÏenC8 de ses actes ; il conduisit son cheval de façon à ce qu’il perdU pied et qu’il s’en allât presque,à la dérive dans le Fraser. Cependant le ca.vali8l’, se tenant farmellJ,ent accroché 11 la crinière et A-laseU., paniDt. 11 bord avec son cheval, l’un portant fautre ; ce qui aJouta un fait de plus U..Uste des dangers JDDrteJs que Il. O’B. luit courus._J

Nous att.eisnfmes avaat midi le lac.e l’Élan et le longeâmes

jusqu’à la nuit saas trouv.er une plQ où BOUS reposer. Le lac était enfté et ses eaux touchaient la base des montagnes !lui restaurent. Ce fut encore une journée employée à marcher daDsl_e8D, GÙ le8 chevaux tGmbaient dans les trous et nageaient au basard, imhibaJÎt d’eau notre farine et notre pemmican. En

beaucoup d’eDdroitd de la plap, le cheQ1În était barré par des accuœulations d’ar.bres qu’avait assemblés l’inondation. Alors il faIlajt eacalader les nanca de la lIumtape. En l’essayant, les chevaux roIlIaient les ans après lei autres ; nous devions les décharger dans l’eau et )Jorter IIU’ 110S épaules les paquets pour permettre au chevam : de gravir les escarpements. Nous lIoua épaio. d’efforts a1k1 d’arriver avant la nuit à la fin du. lac. ; mais le 8O.leil le COl1cha pDd pluaiaurs milles nous séparaient enCOlle de notre. bat, et DOIIB.f4mBs forcés da palier la mUt dans – une eapMe de _1n_iùe ot1 il n’y avait pu un brin d’herbe


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